Vous vous demandez ce que sont les DEEE, les DEA ou encore la tarification incitative ? AM Environnement vous propose un glossaire définissant les principaux termes liés à la gestion et la valorisation des déchets.
- AVCollecte par Apport Volontaire. Mode d’organisation de la collecte dans lequel le contenant de collecte est mis à la disposition du public en accès libre. La collectivité met à disposition des usagers un réseau de points d’apport comprenant un ou plusieurs contenants, plus ou moins régulièrement répartis sur le territoire à desservir, accessibles à l’ensemble de la population. (Source : SITA France)
- BiodéchetsLe biodéchet (ou déchet organique) appartient à la catégorie des déchets biodégradables solides des ménages ou des entreprises qui comprennent les déchets alimentaires, les déchets verts, les papiers et les cartons. Les biodéchets passent par un bio-déconditionneur avec d’être valorisés en énergie et compost. (Source : SITA France)
- BiodiversitéApparue dans le dictionnaire au début des années 1990, la notion de biodiversité remplace celle de diversité biologique. La biodiversité évoque l’éventail des modes de vie d’un ou de plusieurs organismes. La diminution des populations animales et végétales, l’extinction ou la raréfaction de certaines espèces et la simplification des écosystèmes contribuent à la réduction de la biodiversité. (Source : SITA France)
- BiogazGaz produit par la dégradation de la matière organique (y compris les papiers-cartons et les textiles naturels) en absence d’oxygène (anaérobiose). Il peut servir, après épuration, de carburant pour des véhicules adaptés, être intégré à un réseau de distribution de gaz naturel ou servir à la production d’électricité. (Source : SITA France)
- Centre de transit des déchetsLes déchets collectés par les camions bennes sont regroupés sur cette installation de transit pour être ensuite acheminés par camions semi-remorques vers les unités de traitement. Il s’agit donc ici d’optimiser le transport des déchets. (Source : SITA France)
- Centre de triUnité spécifique de regroupement, de tri et de conditionnement des déchets après collecte. A l’issue du processus, les déchets deviennent des matières premières secondaires qui sont utilisées dans la fabrication de nouveaux produits. (Source : SITA France)
- CollecteEnsemble des opérations consistant à enlever les déchets et à les acheminer vers un lieu de transfert, de tri, de traitement ou une installation de stockage des déchets. (Source : SITA France)
- Collecte durableLa collecte durable est l’ensemble des solutions de collecte proposées par SITA visant à réduire les impacts sur l’environnement, maîtriser les coûts de collecte : optimisation des circuits de collecte, utilisation de véhicules alternatifs, réduction du bruit… (Source : SITA France)
- Collecte hippomobileLa collecte hippomobile est la collecte sélective de déchets en centre ville et en zones touristiques qui s’effectue par le biais d’une voiture de collecte, tirée par un ou deux chevaux. (Source : SITA France)
- Collecte pneumatiqueLa collecte pneumatique est un système de transport 100% souterrain des déchets par une technique d’aspiration. Déposés par les usagers dans des bornes de collecte installées sur la chaussée ou intégrées dans les immeubles, les déchets sont acheminés par des canalisations souterraines vers une centrale d’aspiration avant d’être valorisés. (Source : SITA France)
- Collecte sélectiveToute collecte qui sépare certains types de déchets en vue de leur valorisation. (Source : Suez Environnement)
- CompostageTransformation en présence d’eau et d’oxygène des déchets organiques, par des micro-organismes (champignons microscopiques, bactéries…) en un produit comparable à l’humus. (Source : Suez Environnement)
- CSDCentre de stockage des déchets. Terminologie de la réglementation française, synonyme de décharge contrôlée (on parle également parfois de CET, centre d’enfouissement technique). (Source : Suez Environnement)
- CSDUCentre de Stockage de Déchets Ultimes. Anciennement dénommés décharge, le Centre de Stockage des Déchets Ultimes (ou Installation de Stockage de déchets) est de trois types : • “Classe 1″ stockage des déchets industriels dangereux = ISDD • “Classe 2″ stockage des déchets ménagers non dangereux et assimilés = ISDND • “Classe 3″ stockage des déchets inertes, gravats et déblais = ISDI (Source : SITA France)
- CVECentre de Valorisation Énergétique. Unité d’incinération des ordures ménagères (ou incinérateur). (Source : SITA France)
- Cycle de vie du produitDepuis l’extraction des matériaux qui le constituent jusqu’à son traitement en fin de vie (valorisation ou mise en décharge), en passant par sa fabrication, un produit traverse de nombreuses étapes qui constituent son cycle de vie. Ce cycle de vie doit être considéré dans son ensemble car chaque étape peut être source d’impacts sur l’environnement. (Source : SITA France)
- DASLes déchets d’activités de soins (DAS) sont des déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire. (Source : Code de la santé publique)
- DEADéchets d'éléments d'ameublement.
- DéchetsTout résidu d’un processus de production, de transformation ou d’utilisation, toute substance, matériau, produit ou plus généralement tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon. (Source : SITA France)
- Déchets dangereuxLes déchets dangereux sont des déchets qui contiennent, en quantité variable, des éléments toxiques ou dangereux qui présentent des risques pour la santé humaine et l’environnement. (Source : Commissariat général au développement durable)
- Déchets inertesDéchets qui ne subissent aucune modification physique, chimique ou biologique importante. Les déchets inertes ne se décomposent pas, ne brûlent pas et ne produisent aucune autre réaction physique ou chimique, ne sont pas biodégradables et ne détériorent pas d’autres matières avec lesquelles ils entrent en contact, d’une manière susceptible d’entraîner une pollution de l’environnement ou de nuire à la santé humaine. (Source : SITA France)
- Déchets minérauxLes déchets minéraux sont des déchets issus du bâtiment et des travaux publiques. Ils peuvent être répartis en quatre grandes catégories : • les déchets inertes qui ne subissent aucune modification physique, chimique ou biologique : béton, briques, pierre, tuiles, céramiques… • les déchets banals : plastiques, métaux, verre, bois non traités… • les déchets spéciaux ou déchets dangereux : amiante, solvants, peintures, huiles, colles, goudron, bois traités ou emballages souillés, • les déchets d’emballages. (Source : ADEME)
- Déchets ultimesLes déchets ultimes, résultant ou non d’un traitement, sont des déchets qui ne sont plus susceptibles d’être traités dans les conditions techniques et économiques du moment, notamment par extraction de la part valorisable ou par la réduction de son caractère polluant ou dangereux (souvent, mais pas forcément, un “déchet de déchet”). (Source : SITA France)
- Déchets vertsMatières végétales issues de l’exploitation, de l’entretien ou de la création de jardins ou d’espaces verts publics et privés ainsi que les déchets organiques des activités horticoles professionnelles ou municipales, à l’exception des supports de culture. (Source : SITA France)
- DEEEDéchets d’équipements électriques ou électroniques incluant tous leurs composants, sous-ensembles et consommables spécifiques. Ils comprennent par exemple les produits « blancs » (électroménager), les produits « bruns » (TV, vidéo, radio, Hi-fi) et les produits gris (bureautique, informatique). Ils font l’objet d’une filière dédiée. (Source : SITA France)
- Développement DurableIl s’agit d’un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Appliqué à l’économie, il intègre trois dimensions : économique (efficacité, rentabilité), sociale (responsabilité sociale) et environnementale (impact sur l’environnement). (Source : SITA France)
- DIBDéchet industriel banal. Déchet résultant d’une activité industrielle ou commerciale mais assimilable aux OM (c’est-à-dire sans caractère toxique: carton, bois, emballages divers, …). (Source : Suez Environnement)
- Economie circulaireL’économie circulaire poursuit l’objectif de gérer les produits de la naissance à la renaissance en récupérant les pièces de ré-emploi, en recyclant les matériaux et en récupérant l’énergie issu des déchets. Plus éco-responsable, elle limite le gaspillage des ressources naturelles et diminue les gaz à effets de serre. (Source : Suez Environnement)
- EcosystèmeUn écosystème est un ensemble formé par : • le biotope, c’est-à-dire le milieu physique, • les conditions de vie, par exemple, la météo et le climat • et la biocénose, c’est-à-dire l’ensemble des êtres vivants qui y vivent. Un écosystème forme ainsi un système doué d’une certaine autonomie et il est possible de l’étudier isolément. (Source : CNRS)
- Efficacité énergétiqueL’efficacité énergétique consiste à réduire les consommations d’énergie, à service rendu égal, et entraîne la diminution des coûts environnementaux, économiques et sociaux liés à la production et à la consommation d’énergie tout en permettant d’augmenter la qualité de vie de tous les habitants de la planète et celle des générations futures. Est regroupé sous ce terme tout ce qu’on appelle économies d’énergie ou maîtrise de l’énergie. (Source : ADEME)
- Empreinte carboneL’empreinte carbone est un indicateur destiné à caractériser la pression exercée par une activité en termes d’émissions de gaz à effet de serre. Elle couvre à la fois les émissions directes de cette activité et les émissions indirectes, liées à la production et au transport des biens et services qu’elle consomme. (Source : Suez Environnement)
- Energies renouvelablesLes énergies renouvelables sont des énergies primaires inépuisables à très long terme, car issues directement de phénomènes naturels, réguliers ou constants, liés à l’énergie du soleil, de la terre ou de la gravitation. Les énergies renouvelables sont également plus « propres » (moins d’émissions de CO2, moins de pollution) que les énergies issues de sources fossiles. Les principales énergies renouvelables sont : • L’énergie hydroélectrique • L’énergie éolienne • L’énergie de biomasse • L’énergie solaire • La géothermie • Les énergies marines (Source : Ministère du Développement Durable)
- FCRFibres cellulosiques de récupération. Fibre de cellulose extraites du bois ou de vieux papiers cartons récupérés et recyclés. (Source : SITA France)
- ISDInstallation de stockage de déchets. Terminologie de la réglementation française désignant un lieu où les déchets sont conservés de façon permanente, pendant leur phase de dégradation et après inertage. On distingue plusieurs types d’installation, en fonction de la nature des déchets : les ISDD (dangereux) recevant des DIS, ultimes et stabilisés ; les ISDND (non dangereux) recevant les déchets ménagers, les déchets industriels banals et assimilés ; enfin les ISDI (inertes) recevant les gravats et déblais inertes. (Source : SITA France)
- ISDDInstallations de stockage de déchets industriels dangereux. Terminologie de la réglementation française désignant un lieu où les déchets industriel spéciaux (DIS), ultimes et stabilisés, sont conservés de façon permanente, pendant leur phase de dégradation et après inertage. (Source : SITA France)
- ISDILes Installations de Stockage des Déchets Inertes (ISDI), anciennement CSDU de classe 3, sont des centres de stockage des déchets destinés à recevoir les déchets inertes. Ces déchets sont des déchets non susceptiblse d’évolution physico-chimique (non toxique, non biodégradable, très peu soluble dans l’eau, non oxydable). Exemple : remblais, gravats… (Source : SITA France)
- ISDNDInstallation de stockage de déchets non-dangereux. Terminologie de la réglementation française désignant un lieu où les déchets ménagers (DM), les déchets industriels banals (DIB) et assimilés sont conservés de façon permanente, pendant leur phase de dégradation et après inertage. (Source : SITA France)
- MâcheferRésidus solides relativement grossiers issus de l’incinération de déchets et que l’on extrait à la base du four et qui subissent différentes étapes de refroidissement et de traitement (filtration et/ou neutralisation). Une fois stabilisés, les mâchefers peuvent être utilisés en sous couche routière notamment. (Source : SITA France)
- Matière première secondaireMatériaux issus du recyclage de déchets et pouvant être utilisés en substitution totale ou partielle de matière première vierge. (Source : ADEME)
- MéthanisationL’idée est de récupérer le gaz issu de la dégradation des matières organiques enfouies dans les centres de stockage. La méthanisation consiste donc en une fermentation biologique grâce à une flore bactérienne. Elle permet de récupérer plus facilement le gaz qui, sinon, s’échappe dans l’atmosphère. Elle réduit également la proportion de déchets ultimes dans les décharges et se traduit par une meilleure maîtrise de la pollution et des nuisances liées au traitement des ordures ménagères. Une fois valorisé, le biogaz peut servir à produire de l’électricité, de la chaleur ou être utilisé comme carburant propre. (Source : Suez Environnement)
- PETPolyéthylène téréphtalate. Le PET est une matière principalement utilisée pour la fabrication de bouteilles, flacons, pots, films et feuilles, fibres… De la famille des thermoplastique, elle est recyclable. (Source : Suez Environnement)
- RecyclageRéintroduction directe d’un déchet dans le cycle de production dont il est issu en remplacement total ou partiel d’une matière neuve. Par exemple : refondre des bouteilles cassées pour en faire des neuves. Les journaux, les magazines, le verre peuvent être recyclés si leur collecte est assurée de façon sélective. Produits textiles et matières fermentescibles ne peuvent être recyclés. (Source : Suez Environnement)
- RéemploiNouvel emploi du déchet pour un usage analogue. Par exemple : les bouteilles consignées et réutilisées. (Source : Suez Environnement)
- REFIOMRésidus d’Epuration des Fumées d’Incinération des Ordures Ménagères. Résidus solides obtenus après traitement chimique des fumées d’incinération de déchets ménagers. Il s’agit de piéger les gaz acides, poussières, métaux lourds, oxydes d’azote et dioxines, afin d’épurer les fumées à plus de 99 % avant leur rejet à l’atmosphère. Composés essentiellement de cendres volantes (poussières), les REFIOM sont stabilisés et conditionnés avant d’être éliminés en installation de stockage de déchets dangereux. (Source : SITA France)
- Refus de triDéchets non récupérés à l’issue du tri industriel. Ils font l’objet d’un traitement ultérieur. (Source : SITA France)
- RégénérationProcédé physique ou chimique qui redonne au déchet les caractéristiques permettant de l’utiliser en remplacement d’une matière première neuve. Par exemple : papier recyclé et régénéré par le désencrage. (Source : Suez Environnement)
- REOMLes communes ou groupements de commune peuvent instituer, à la place de la taxe d’enlèvement sur les ordures ménagères (TEOM), une redevance d’enlèvement des ordures ménagères (REOM). La REOM est établie en fonction du service rendu, c’est-à-dire du volume des ordures enlevées. Différentes tarifications sont possibles (combinaison d’une part fixe et d’une part proportionnelle, fixation d’un forfait par foyer ou d’un montant par personne multiplié par le nombre de personnes habitant le foyer…). (Source : Service-public.fr)
- RéutilisationUtilisation du déchet pour un usage différent. Par exemple : les pneus pour protéger la coque des chalutiers. (Source : Suez Environnement)
- RipeurAgent de salubrité publique qui assure la collecte des déchets. (Source : SITA France)
- Stabilisation des déchetsTraitement qui empêche la dissolution et la dissémination des composés nocifs, toxiques ou polluants présents dans les déchets et tend à réduire le plus possible leurs effets dommageables sur l’environnement. (Source : Ministère du Développement Durable)
- Tarification incitativeLa tarification incitative consiste à introduire une part variable dans la facture des usagers en fonction du poids ou du volume d’Ordures Ménagères (OM) produites. L’objectif est d’inciter les usagers à trier plus : ils payent davantage s’ils trient moins et moins s’ils trient plus. En France, le Grenelle de l’Environnement a fixé ce principe à échéance d’ici fin 2014, date à laquelle toutes les collectivités devront avoir mis en place le système. (Source : SITA France)
- Taux de recyclageLe taux de recyclage est un indicateur qui cherche à approcher la proportion dans laquelle un volume de déchets est retraité en substances, matières ou produits en substitution à d’autres substances, matières ou produits. Il s’exprime sous la forme d’un pourcentage, et donc d’un rapport entre un numérateur et un dénominateur. Comme tout indicateur, il repose sur une série de conventions. Ces conventions conditionnent le résultat obtenu. (Source : Commissariat général au Développement Durable)
- TEOMLa taxe d’enlèvement sur les ordures ménagères (TEOM) s’applique à toute propriété soumise à la taxe foncière bâtie (TFB). Elle s’applique au contribuable propriétaire mais également à l’usufruitier du bien. Elle apparaît sur l’avis de la taxe foncière. Lors du paiement, elle est incluse dans le montant global à payer avant le 15 octobre de chaque année. Les bases sont celles de la taxe foncière bâtie. La TEOM est établie sur la moitié de la valeur locative cadastrale du bien imposé. (Source : Impots.gouv.fr)
- TMBLe traitement mécano-biologique (TMB) s’applique aux ordures ménagères résiduelles. Il consiste en l’imbrication étroite de plusieurs opérations : • des opérations de traitement et de tri mécaniques qui visent à fractionner les déchets et à isoler progressivement certains éléments valorisables en tant que matériaux (métaux, plastiques, verre …), déchets fermentescibles ou déchets incinérables à fort pouvoir calorifique (PCI). Toutes les fractions issues de ces opérations conservent un statut réglementaire de “déchet” ; • des opérations biologiques telles que le compostage ou la méthanisation qui transforment la fraction fermentescible isolée en produits valorisables (compost, biogaz) ou en produits “stabilisés” (dont le pouvoir fermentescible est diminué) pouvant être stockés en centre d’enfouissement. (Source : ADEME)
- Traitement des déchetsRéduction, dans des conditions contrôlées, du potentiel polluant initial des déchets et/ou des flux de déchets à mettre en décharge. (Source : Suez Environnement)
- Tri à la sourceSéparation des déchets par type de matériau réalisé par le particulier ou les employés de collecte. (Source : Suez Environnement)
- Tri sélectifLe tri sélectif des déchets et la collecte sélective sont des actions consistant à séparer et récupérer les déchets selon leur nature pour leur donner une « seconde vie », le plus souvent par le recyclage évitant ainsi leur simple élimination par incinération ou stockage. (Source : SITA France)
- UIOMUnité d’incinération d’ordures ménagères (ou incinérateur). (Source : Suez Environnement)
- ValorisationTerme générique recouvrant le réemploi, la réutilisation, le recyclage ou la régénération des déchets. (Source : Suez Environnement)
- Valorisation biologiqueMode de traitement des déchets organiques par compostage ou méthanisation. (Source : Suez Environnement)
- Valorisation énergétiqueRécupération des calories contenues dans les déchets incinérés, permettant la production d’énergie thermique ou électrique. (Source : Suez Environnement)
- Valorisation matièreMode de traitement des déchets, permettant leur réemploi, réutilisation ou recyclage. Par exemple : déchets issus de la collecte sélective et recyclés, mâchefers valorisés en sous-couches routières…). (Source : Suez Environnement)
- Valorisation organique des déchetsUtilisation pour amender les sols de compost, digestat ou autres déchets organiques transformés par voie biologique. (Source : SITA France)
- Vide de fouilleEspace encore disponible pour le stockage des déchets dans une décharge. (Source : Suez Environnement)
- Ville durableLa ville durable est une ville harmonieuse ouverte sur le reste du monde qui insuffle une dynamique économique. Elle est aussi celle qui sait gérer de façon durable les ressources dont elle a besoin (eau, énergie, mobilité, santé, éducation…), les déchets et les pollutions qu’elle génère. C’est également une cité qui associe le citoyen. C’est aussi une ville résiliente qui sait faire face aux risques. (Source : Suez Environnement)